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                    Les canaux des Vernèdes
                    
                        La ville de Nant doit son développement à l’eau, et à l’établissement, en 926, des moines bénédictins venant du monastère de Vabres l’Abbaye. Les moines engagent des travaux considérables entre le XIIe et XIIIe siècles. Ils canalisent le Durzon afin d’assécher les marécages, car « la rivière le Durzon ne s’était pas creusé de lit stable dans cette plaine et l’eau s’écoulait difficilement pour rejoindre la Dourbie. Les eaux du Durzon étaient stagnantes et marécageuses » (Elie Mazel)En 1135 le monastère est érigé en abbaye. L’abbaye rayonne, est respectée, devient puissante et fait des échanges avec d’autres abbayes, ce qui permet au village de s’enrichir.On y trouve toute l’industrie liée à la force hydraulique, moulins bladiers, à cuivre, et une agriculture riche grâce au réseau d’irrigation, notamment fourrage, fruits et produits de toutes sortes. Nant devient un pôle commercial avec des marchés très prisés et des foires importantes. 
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            15,04
                        
                                                
                            latitude
                            44.0222
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                495
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                            longitude
                            3.29947
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    2
                    La halle de Nant
                    
                        La ville de Nant avait obtenu en 1369 le droit d’avoir des foires et des marchés, droit accordé par le Duc d’Anjou. Au XVe siècle, les privilèges de la ville sont confirmés : des marchés hebdomadaires s’y tiennent, 4 foires annuelles sont concédées dont une qui durait 3 jours les 2,3 et 4 novembre.La halle a été reconstruite, en 1706 et 1707, la première pierre fut posée le 13 mars 1706.C’est une construction trapue, rectangulaire de 30 m de long et de 8 m de large comportant 12 piliers soutenant la voûte, reliés entre eux par une arcature plein cintre.Sur un pilier, une plaque commémore les événements des 14 et 15 août 1944 où deux civils nantais et sept maquisards du Maquis des Corsaires furent fusillés.Inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques depuis le 13 avril 1944.
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            15,19
                        
                                                
                            latitude
                            44.0226
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                494
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                            longitude
                            3.3011
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    3
                    Le bâtiment de la Mairie
                    
                        Pierre François Ayrolle Des Angles, né le 22 septembre 1722 à Nant, a épousé, en 1754, à St-Pierre de la Martinique, Anne Elisabeth Banchereau, une riche veuve pour qui il fit construire en 1760, ce bel hôtel particulier !Dans le hall d’entrée, vous pourrez apercevoir le visage sculpté dans le plâtre d’Ayrolle des Angles. Le palier est bâti sur voûte sarrasine, au plafond du palier, quatre masques grotesques.La façade principale, la toiture, l'escalier, la cage d'escalier, et le décor intérieur sont inscrits Monument Historique le 3 juillet 2007.Acheté par la commune en 1912, ce bâtiment abrite aujourd’hui la Poste, la Trésorerie, la Maison des Services, l’Office de Tourisme Intercommunal, la mairie mais également  la statue de Louis XVI dans le hall d'entrée...
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            15,23
                        
                                                
                            latitude
                            44.0228
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                494
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.30143
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    4
                    L'église Saint-Pierre
                    
                        En 926, des moines bénédictins de Vabres-l’Abbaye s’installent à Nant pour « y créer un monastère en l’honneur de St-Pierre de Rome ». L’église St-Pierre fut construite à partir de 1070, les campagnes de travaux successives ont duré un siècle environ. Les voûtes en cul de four des absidioles et de l’abside, la magnifique coupole sur trompes à la croisée du transept, la nef et les collatéraux voûtés en berceau plein cintre, l’ensemble de colonnes jumelles engendrant 120 chapiteaux sculptés, en font un très bel exemple d’architecture romane.Les trois vitraux de l’abside représentant des épisodes de la vie de Saint-Pierre ont été dessinés par Jean Hugo (arrière petit-fils de Victor Hugo), réalisés par M. Cavalier, maître-verrier et placés en 1986. L’église est classée aux Monuments Historiques depuis 1862.
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            15,24
                        
                                                
                            latitude
                            44.0217
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                495
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                            longitude
                            3.30131
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    5
                    La chapelle des Pénitents
                    
                        La confrérie des Pénitents Blancs de Nant a été fondée vers 1600, après les guerres de religion. La chapelle a été bâtie dans la seconde moitié du XVIIe siècle. La porte qui donne sur la Rue Droite porte la date de 1684, encadrant une niche qui abrite une statue de la Vierge. La porte qui donne sur la Place du Claux porte la date de 1725. Après la guerre 1914-18, il ne restait que quelques Pénitents, pour la plupart, âgés. La chapelle fut désaffectée en 1920 et le chanoine Lafon la transforma en salle d’œuvres paroissiales. De 1982 à 1996, elle devint « le Théâtre des Pénitents ». En 1999, la commune l’a louée par un bail emphytéotique de 20 ans à l’association diocésaine de Rodez...Source : Alain Bonnemayre
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            15,36
                        
                                                
                            latitude
                            44.0219
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                491
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                            longitude
                            3.30256
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    6
                    Les remparts
                    
                        La Couvertoirade conserve l'intégralité de ses remparts, édifiés au milieu du XVe siècle. Dès 1346, des "routiers" pillent le Larzac. C'est par crainte de ces bandes armées que les villageois demandent en 1439 l'autorisation de fortifier le village. La construction se poursuit jusqu'en 1445, sous la direction du maître maçon Déodat d'Alaus.Cette muraille, de 420m de long et d'1.30m d'épaisseur, est percée par des archères-canonnières et est surmontée d'un chemin de ronde.Sources : Point Accueil Tourisme La Couvertoirade
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            32,10
                        
                                                
                            latitude
                            43.9128
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                777
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.3168
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    7
                    Le four banal
                    
                        Ce four doit son nom à l’impôt que l’on devait payer pour pouvoir l’utiliser : la banalité. Construit au XVe siècle par les hospitaliers et restauré dans les années 2000. Il est aujourd’hui en état de marche et des fournées y sont régulièrement faites par le boulanger du village.Source : Point Accueil de La Couvertoirade
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            32,16
                        
                                                
                            latitude
                            43.9126
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                777
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.31745
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    8
                    L'église Saint-Christophe
                    
                        L'église actuelle a remplacé l'ancienne église paroissiale du XIe siècle, située à l'extérieur du village. Ce nouvel édifice, en partie creusée dans le rocher au XIVe siècle, participera à la constitution définitive d'un village. Lors de l'édification des remparts, au XVe siècle, le chevet plat de l'église fera partie entière du rempart. Une tour de défense sera également rajoutée au dessus du chœur, mais devra malheureusement être détruite au XVIIIe siècle représentant un poids trop important pour l'édifice primitif.Sources : Point Accueil Tourisme La Couvertoirade
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            32,17
                        
                                                
                            latitude
                            43.9126
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                779
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.31759
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    9
                    La cardabelle
                    
                        La Cardabelle ou Carline à feuilles d’acanthe (Carlina acanthifolia) est un vrai «  soleil » en été ! Dépourvu de tige, mais muni de grandes feuilles très piquantes, ce « chardon » présente un capitule (ensemble de multiples petites fleurs) jaune vif. C’est l’emblème des pelouses caussenardes !Texte : PNR des Grands Causses
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            34,32
                        
                                                
                            latitude
                            43.9155
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                791
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.29394
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    10
                    Le pin sylvestre
                    
                        Si les causses sont connus pour leurs vastes étendues de végétation rase, il ne faut pas croire que la forêt est absente. C’est uniquement l’action de l’homme qui limite sa progression.Le Pin sylvestre (Pinus sylvestris) est le conifère naturel du causse. Son écorce orangée et ses petits cônes l’identifient facilement. Il pousse dans des conditions parfois extrêmes de pente ou de climat (crête ventée, rochers en falaise…). Il ne faut pas le confondre avec le Pin noir (Pinus nigra) qui a été largement planté sur les causses et qui a des grandes facultés d’adaptation aux sols maigres.Texte : PNR des Grands Causses
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            35,36
                        
                                                
                            latitude
                            43.9173
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                786
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.28168
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    11
                    Ferme caussenarde
                    
                        La ferme de la Salvetat est une ferme typique du Causse, avec son patrimoine rural et son four à pain. Dans l'architecture caussenarde, le matériau principalement utilisé est la pierre. Elle sert à faire les couvertures (toits de lauzes : pierres plates) ou les voûtes et les murs. Les menuiseries se distinguent de la pierre par leurs couleurs froides (bleus, verts ou gris...)
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            36,62
                        
                                                
                            latitude
                            43.919
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                750
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.26713
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    12
                    L'Hospitalet du Larzac
                    
                        Le village de l'Hospitalet s'est construit autour d'un hôpital créé pour accueillir les pélerins par Guilbert (ou Gilbert), comte de Millau vers 1108. Il portera le nom d'Hôpital-Guibert jusqu'en 1793, date à laquelle la municipalité décida qu'il porterait le nom de L'Hospitalet.Le village est composé d'une grande place avec sa fontaine, le griffoul (exceptionnel sur le plateau du Larzac), son ancien lavoir où nagent les cygnes, et des maisons d'architecture traditionnelle du Causse.L'exposition géologique et archéologique du centre Frédéric Hermet présente des objets et matériel découverts sur la nécropole du village antique, ainsi qu'une importante collection de fossiles de l'époque jurassienne provenant du Larzac et une série de photos d'orchidées sauvages. Exposition ouverte les après-midi en juillet et août, le reste de l'année sur demande auprès de la Mairie.
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            49,61
                        
                                                
                            latitude
                            43.9733
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                749
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.19338
                        
                        
                     
                    
                    
                                            
                 
                
                                        
                
                    13
                    Chapelle Saint-Amans du Larzac
                    
                        Frédéric Hermet, curé de la paroisse de l'Hospitalet du Larzac de 1894 à 1934, attira l'attention sur les dévotions populaires autour de la chapelle St-Amans. Située en limite des communes de La Cavalerie, Ste-Eulalie de Cernon et l'Hospitalet du Larzac, les paroissiens des trois villages s'y rendaient pour demander la pluie, en période de grande sécheresse. Ils y organisaient également des processions chaque année, mais n'y allaient pas le même jour. Chaque paroisse avait un jour spécial. La chapelle était en ruine et a été rebâtie au XXème s. bénévolement par Etienne Paloc, un habitant de La Cavalerie.
                    
                                        
	                                    	                
                        Informations complémentaires
                        
                              
                             
                        
                        
                            kilomètre
                            52,02
                        
                                                
                            latitude
                            43.9774
                        
                        
                        
                            altitude
                            
                                871
                                m
                            
                        
                                                
                            longitude
                            3.17437