A
Faune du ruisseau
Point d'intérêt naturel
Autrefois chassée et convoitée pour sa peau, la loutre a mis près de 30 ans à reconquérir les cours d’eau cévenols. Depuis, la recherche des traces et indices de présence permet de bien connaître sa dans le Parc national. L’écrevisse à pattes blanches et quant à elle en régression et très sensible aux variations environnementales. Sa préservation passe notamment par le maintien de la diversité des habitats et d’une bonne qualité de l’eau.
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kilomètre
0,13
latitude
44.2767
altitude
430
m
longitude
3.8528
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B
Le béal
Divers
Le sentier enjambe sur de grosses dalles de lauzes le béal servant à l’irrigation des terrasses et dont le départ se situe à 1,5 km en amont. « Le béal, je sais qu’il y avait plusieurs personnes qui y avaient droit et qu’ils avaient chacun un jour pour utiliser l’eau. Chez moi, il y avait au moins trois kilomètres de béal et pour les entretenir, on y travaillait au mois de mars et en automne. Maintenant on a la possibilité d’arroser les parcelles avec un tuyau mais ça ne répartit pas l’eau comme un béal. Quand il y avait partout des canaux, tout était vert, maintenant c’est sec ».
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kilomètre
0,26
latitude
44.2778
altitude
456
m
longitude
3.8529
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C
Un hôtel accueillant
Point d'intérêt naturel
Ce châtaignier et la clède en ruine sont les reliques d’une châtaigneraie abandonnée il y a bien longtemps ! Un arbre mort… mais qui grouille de vie. Les agents du Parc national participent à l’inventaire national des coléoptères saproxyliques (mangeurs de bois mort). Piégeage, observation et détermination des espèces sont les étapes clés de ce travail. Victimes notamment de l’évolution de leur habitat et des pollutions lumineuses, Les chauves souris font également l’objet de comptages dans les sites de reproduction et d’hibernation connus.
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kilomètre
0,35
latitude
44.2785
altitude
462
m
longitude
3.85321
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D
Les bancels
Divers
« Avant à Cessenade, ils avaient leurs jardins là-bas, ils plantaient des tomates, des haricots… parce qu’il n’y avait pas encore l’eau de la commune. Les bancels étaient clos, pour retenir la terre, avec juste un passage pour un homme et un faix de fumier, on transportait tout sur le dos, même une mule ne pouvait y aller… Avant, il fallait faire tellement de choses que les soirs de clair de lune ils allaient refaire les murets, et vous aviez des gens, ça remonte très loin ça, qui prenaient un ouvrier pour les aider et ils le payaient avec deux ou trois corbeilles de terre qu’il remmenait pour ses bancels ».
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kilomètre
0,39
latitude
44.2789
altitude
474
m
longitude
3.85344
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E
Châtaigniers cultivés
Divers
On les distingue à leur bourrelet, cicatrice de la greffe. On retrouve ici cet arbre sous différents aspects : en peuplement dépérissant (voir point précédent), en verger entretenu (devant vous) ou mélangé au pin ou au chêne vert (retournez-vous).La variété comballe domine dans le secteur mais de nombreuses autres variétés fruitières sont cultivées en Cévennes, garantissant ainsi une longue période de production et une meilleure résistance aux maladies, insectes et caprices climatiques.
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kilomètre
0,46
latitude
44.2792
altitude
480
m
longitude
3.85409
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F
Viaduc de Cessenades
Lieu historique
Inaugurée en 1909, la ligne de chemin de fer départemental (CFD) reliant Florac à Sainte Cécile d’Andorge a nécessité la construction de 15 tunnels, 53 ponts et viaducs. En 1968, la voie ferme faute de rentabilité. Cette ligne fait actuellement l’objet d’un aménagement progressif en voie verte, offrant des points de vue pittoresques sur les méandres de la Mimente et du gardon d’Alès (Vallée longue).Ce viaduc est le plus haut de la ligne.
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kilomètre
0,81
latitude
44.2804
altitude
449
m
longitude
3.85791
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G
Un ravin sauvage
Point d'intérêt naturel
Le spectaculaire viaduc de Cessenade révèle la profondeur d’un ravin naturel difficile d’accès. Cette configuration et le microclimat qui y règne favorisent l’expression d’une vie sauvage variée et la préservation d’un cortège très particulier de lichens, fougères, champignons et mousses.Les pentes abruptes de ce ravin ont contribué au maintien d’unboisement ancien. D’autres forêts dans le Parc national sont volontairement laissées à une libre évolution. Leur étude sur le longterme permet de mieux comprendre les phénomènes naturels qui transforment les espaces forestiers.
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kilomètre
1,16
latitude
44.2786
altitude
465
m
longitude
3.85808
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H
La face cachée du ravin
Point d'intérêt naturel
Le long de la voie, l’évolution spontanée de la forêt vers une plus grande diversité et maturité. Après genêts et bruyères, s’installent le pin et le bouleau. Enrichissant le sol en matière organique, ces groupements préparent l’avènement d’une véritable forêt accueillant le chêne vert, le châtaignier puis le chêne pubescent, essences à croissance lente et à fortes exigences écologiques.
Informations complémentaires
kilomètre
1,64
latitude
44.2765
altitude
450
m
longitude
3.85375
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