Culture de l'olive
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 16/11/2022
Sélectionner le fond de carte
     
                PLAN IGN
                
             
                PHOTOS AERIENNES
                
             
                CARTES IGN MULTI-ECHELLES
                
             
                TOP 25 IGN
                
             
                CARTES DES PENTES
                
             
                PARCELLES CADASTRALES
                
             
                CARTES OACI
                
             
                CARTES 1950 IGN
                
             
                CARTE DE L’ETAT-MAJOR  (1820-1866)
                
             
                Open Street Map
                
            Afficher les points d'intérêt à proximité
    
                Hébergements
            
                            
                Informations
            
                            
                Lieux d'intérêts
            
                            
                Producteurs
            
                            
                Restauration
            
                            
                Services et Commerces
            
                            
                Autre
            
                            Echelle  
            
        | latitude 43.9744 | longitude 3.56242 | altitude 
                        486 m                      | |||
| adresse 
                                                                        Molieres-cavaillac
                                             | accessibilite | ||||
Photos & vidéos (1)
|   | 
description
                Deux moulins à huile se situaient à mi-pente, au milieu des terrasses. La plupart des familles possédaient des parcelles plus ou moins grandes de vignes et d'oliviers, exposées à l'adret. Les olives se ramassaient à partir du 25 novembre : « à la Ste-Catherine, ramasse tes olives, si l'huile n'y est pas, ne l'attend pas ». La meule était actionnée par un mulet, les olives broyées puis pressées, donnaient d'abord l'huile vierge. « On versait de l'eau bouillante et on continuait à presser. Trois ou quatre hommes à la fois s'arc-boutaient sur la presse afin qu'il ne reste plus dans les paillassous (corbeilles) que les noyaux broyés. On les faisait consommer aux cochons qui en étaient peu friands, mais rien ne devait être perdu ».
            
        
            Note moyenne
    
            
                
                
                
                
    
    
    
     
                     
                
